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Mississippi John Hurt
The Immortal Mississippi John Hurt

The Immortal Mississippi John Hurt

Labels

Vanguard

Catno

VSD-79248

Formats

1x Vinyl LP Limited Edition Reissue

Country

US

Release date

Apr 16, 2011

Genres

Blues

Le Discopathe Montpellier

Perfect album !

Media: NM or M-i
Sleeve: NM or M-

30€*

*Taxes included, shipping price excluded

Tracked and send in specified vinyle packaging with plastic sleeve protection and stickers. Rip Samples from vinyl, pics and Discount on www.lediscopathe.com. Please feel free to ask informations about our products and sell conditions. We ship vinyles world wide from our shop based in Montpellier (France). Come to visit us. Le Discopathe propose news and 2nd hands vinyls, collectors, rare and classic records from past 70 years

A1

Since I've Laid My Burden Down

2:43

A2

Moaning The Blues

3:15

A3

Buck Dance

2:02

A4

Lazy Blues

1:27

A5

Richland Women Blues

4:00

A6

Tender Virgins

2:55

A7

Hop Joint

2:07

B1

Monday Morning Blues

3:55

B2

I've Got The Blues And I Can't Be Satisfied

2:47

B3

Keep On Knocking

2:05

B4

Chicken

1:05

B5

Stagolee

5:33

B6

Nearer My God To Thee

3:25

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Vis-A-Vis released a hugely impressive 13 albums between 1975 and 1982. Both talented studio artists and live musicians, the band was led by vocalist Isaac "Superstar" Yeboah with Sammy Cropper on guitar, Slim Manu on bass and Gybson "Shaolin Kung-Fu" Papra on drums. The We Are Busy Bodies label is in the process of rolling out reissues of plenty of those records and this is one fo the best . A real listening joy, it brings with afro grooves and noodling jazz melodies, richly textured organ and bass work that all help take you to warmer, earthier climes in an instant.
The third album on Black Focus continues the South London tradition but this time in the form of one of the originators: a triple OG, Steve Spacek. Spacek recently released a solo record through Alexander Nut’s imprint Eglo, dBridge’s Exit Records as Blackpocket, following on from his work with Ninja Tune under the Beat Spacek moniker and collaboration with Mark Pritchard as Africa HiTech on Warp.He’s also made formative work with legendary artists J Dilla, Raphael Saddiq, Q Tip and Common and made early drum & bass tunes with his brother dBridge. It’s an incredible career resume and an honour to be releasing this new work. ‘Houses’ sees Spacek return to his Detroit influences, with house music at the heart of this record as it's foundation but as with all Spacek’s releases, it transcends genre and focuses more on swing, melody and feeling.There are elements of soul, jazz and R&B interlaced within the DNA of his electronic music, alongside his signature falsetto vocals. The entire project was produced using iPhone and iPad apps, an approach Steve champions and feels liberated by using technology to join the past with the present. Describing the project his own words: “It’s been well overdue for me to be releasing some 4/4 House vibes!This music has been a big part of my musical journey from dot. Mainly from two angles. The first is, of course, the early rave scene in London and the UK in general, with all its early iterations. Techno from the D, acid, (happy) hardcore, what we use to call dub house (pre jungle), coming into Garage and Balearic to name a few. The other angle is the music production angle: I’ve always used the basic 4/4 template as a means of being able to learn a new piece of recording equipment.Whenever I get any new beat making hardware or software, I’d always make a house beat. I find it the easiest music to make and have always joked about how I can knock up a house beat in 10 minutes! Well now I have an LP’s worth to share! Taken a tad longer than 10min but hey ;) Enjoy.”
Closing Time is the debut album by American singer-songwriter Tom Waits, released on March 6, 1973 on Asylum Records. Tom WAITSClosing Time (remastered)Anti
“Ô ruines ! je retournerai vers vous prendre vos leçons, je me replacerai dans la paix de vos solitudes.”Constantin-François Volney, Les Ruines ou méditation sur les révolutions des empires [1791]De tous les Cyril qu’enfanta la Cité de Calvin à l’orée des années 80, ces deux-là devaient fatalement se trouver. Deux Cyril comme deux âmes dizygotes dont les aléas ont hâté la rencontre. Cyril Cyril. Hydre libre, née de cette ville de diplomates où Borges, dans L’Autre, dédoublait son égo rajeuni.Sur les ruines de leurs groupes éreintés s’échafaude un empire d’essence cosmopolite. Car ces Cyril ont engrangé des miles, depuis leur havre genevois.Muezzin sans frontières, Cyril Yeterian vient au monde échevelé dans Mama Rosin. Un trio réveillant les spectres des bayous voyous, les Mardi Gras moites d’une Louisiane électrique. Le monde, très vite, s’éprend de leur verve. La BBC les fête, Jon Spencer les produit, les disques prolifèrent. Et puis en 2017, l’état de grâce trépasse. Cyril est seul.Oh, pas tout à fait. Car autour de lui champignonne la musique. Dans sa boutique Bongo Joe, sur le label du même nom, dans les soirées DJ qu’il fomente en sous-sol, Yeterian défriche à tout va, dans une boulimie de grooves exilés.Dans le même espace-temps, Cyril Bondi, lui, prend la tangente. Diatribes, La Tène, Insub Meta Orchestra, les projets les plus aventureux de la scène genevoise ont tous maille à partir avec ce percussionniste en quête de pulsations inouïes. Lui aussi voyage, connaît l’ascension, l’ivresse des cimes et la chute. Plaistow, son groupe de jazz médiumnique, d’hypnose acoustique, chahute le landerneau saturé du trio piano-basse-batterie et conquiert les coeurs d’Europe et d’Orient. Jusqu’à la rupture.Bondi cherche alors un local pour y déposer son attirail. Il trouve mieux: un complice en prospection musicale, un Cyril au diapason de son instinct frondeur.Plus question donc de s’appuyer, tel le “Colosse de Rhodes”, sur des piles éprouvées. L’aventure réclame un nouveau bagage, un nouveau langage. Cyril et Cyril sont dans un bateau et tous deux se jettent à l’eau.Guitariste et accordéoniste, Cyril Y. adopte le banjo. Il y greffe des pédales d’effet qui ont tôt fait de le muer en bouzouki malingre, en saz épique, en lyre d’Addis. Cyril B, lui, recompose une batterie de cuisine cannibale, sertissant sa grosse caisse modèle fanfare de grelots maousses et de noix tropicales.Il faut avoir vu ces deux là, un soir de festival populeux, surchauffer un club étriqué en convoquant des négus utopiques. Jouer aux nouveaux berbères, provoquer d’improbables soukous sismiques en une transe qui tient autant du vertige hippie que de Fraggle Rock.Car la musique, pour Cyril Cyril, est un usage du monde. Un décentrement joyeux qui offre de nouvelles prises à l’appréhension du chaos. Le propos ici, n’a rien d’une partie de campagne mondialisée, d’un exotisme gluten-free. Sous la plage, les pavés. Le politique affleure toujours à la surface de ces chants grisants, de ces grooves osseux.Quand il ne remonte pas la filière familiale d’un dialecte libanais adopté sur le tard, Cyril Yeterian scande en français des rhapsodies dont le vocable impérieux dit tout des insurrections qui viennent.Ainsi de “La ville”, harangue doorsienne où la verve épique d’un Prix Goncourt (Texaco de Patrick Chamoiseau) rencontre les prophéties poétiques du Comité Invisible. Ainsi d’”Ultra moderne solitude 2”, plus Alain Péters que Souchon, où l’on s’interroge: “Où sont donc parties les âmes / avec qui prendre les armes”.Rien pourtant de nature à transformer Certaine Ruines en un pamphlet bavard de mauvais plaisants, de rabat-joies néo-post-tout. Parce que, reconnaissons-le, “c’est intimidant le léviathan” (“Sous la mer c’est calme), Cyril Cyril sait les pouvoirs supérieurs de la suggestion, de la retenue, de la sobriété heureuse.Un mot, un cri en dit bien d’autres, pour peu qu’il soit habité. Un son de duo, réduit à sa plus simple expression - rythme-riff-voix - peut porter en lui, double hélice d’ADN, un organisme musical d’une luxuriance infinie. 
Cyril Cyril, si riche, si riche.

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