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Thony Adex & His Sedico Sound
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Catno

JET 032

Formats

1x Vinyl LP Album

Country

Nigeria

Release date

Jan 1, 1978

Styles

African

Media: VG+i
Sleeve: VG+

30€*

*Taxes included, shipping price excluded

Writting on both cover and label. Somes marks and skuff. Please feel free to ask informations about our products and sell conditions. We ship vinyles world wide from our shop based in Montpellier (France). Come to visit us. Le Discopathe propose news and 2nd hands vinyls, collectors, rare and classic records from past 70 years.

A1

Baba Wa Orun

A2

Fona Han Mi

A3

Atokoro Wo Nu Ado

A4

Omo Onife

B1

A Tun Gbede

B2

Orere Ila

B3

Omo Awo Re O

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Debut album from Kenya born, Berlin based percussionist, vocalist, DJ, producer and “musical witchdoctor” Alai K, combining music from eastern Africa, ancestral customs and the rituals of danceOn moving to Berlin, Alai went raving regularly and became enamoured with underground dance music culture. “I love techno and believe that African drums influenced the percussion and programming: lt’s coming from the same place; with both you get extended periods with no chorus or verse, just occasional chanted or chopped vocals. In Africa people play drums and dance for hours, which is the same experience as western electronic music”, says Alai.Alai started living and recording in Berlin 3 years ago, in a one- room flat shared with his family. He would constantly be in flux, setting up his small studio in the kitchen, then packing it away again when they needed to cook. He later hooked-up with a notable Kenyan percussionist based in Hamburg called Izo Anyanga, and over several trips down the autobahn they jammed acoustically, with just drums, marimba, xylophone, and some good weed. The vibe was huge, and the pair decided they wanted to make a record, which could easily transpose for performance to a crowd. Music from eastern Africa, ancestral customs and the rituals of dance are deep in Alai’s DNA. His great grandmother was a singer and composer, and his father was a professional drummer, who alongside friends and family would play spiritual music from Bajun like Ndurenge, Kirumbizi and Bati, all night long, to uplift the spirit, or remember the dead.
“Ô ruines ! je retournerai vers vous prendre vos leçons, je me replacerai dans la paix de vos solitudes.”Constantin-François Volney, Les Ruines ou méditation sur les révolutions des empires [1791]De tous les Cyril qu’enfanta la Cité de Calvin à l’orée des années 80, ces deux-là devaient fatalement se trouver. Deux Cyril comme deux âmes dizygotes dont les aléas ont hâté la rencontre. Cyril Cyril. Hydre libre, née de cette ville de diplomates où Borges, dans L’Autre, dédoublait son égo rajeuni.Sur les ruines de leurs groupes éreintés s’échafaude un empire d’essence cosmopolite. Car ces Cyril ont engrangé des miles, depuis leur havre genevois.Muezzin sans frontières, Cyril Yeterian vient au monde échevelé dans Mama Rosin. Un trio réveillant les spectres des bayous voyous, les Mardi Gras moites d’une Louisiane électrique. Le monde, très vite, s’éprend de leur verve. La BBC les fête, Jon Spencer les produit, les disques prolifèrent. Et puis en 2017, l’état de grâce trépasse. Cyril est seul.Oh, pas tout à fait. Car autour de lui champignonne la musique. Dans sa boutique Bongo Joe, sur le label du même nom, dans les soirées DJ qu’il fomente en sous-sol, Yeterian défriche à tout va, dans une boulimie de grooves exilés.Dans le même espace-temps, Cyril Bondi, lui, prend la tangente. Diatribes, La Tène, Insub Meta Orchestra, les projets les plus aventureux de la scène genevoise ont tous maille à partir avec ce percussionniste en quête de pulsations inouïes. Lui aussi voyage, connaît l’ascension, l’ivresse des cimes et la chute. Plaistow, son groupe de jazz médiumnique, d’hypnose acoustique, chahute le landerneau saturé du trio piano-basse-batterie et conquiert les coeurs d’Europe et d’Orient. Jusqu’à la rupture.Bondi cherche alors un local pour y déposer son attirail. Il trouve mieux: un complice en prospection musicale, un Cyril au diapason de son instinct frondeur.Plus question donc de s’appuyer, tel le “Colosse de Rhodes”, sur des piles éprouvées. L’aventure réclame un nouveau bagage, un nouveau langage. Cyril et Cyril sont dans un bateau et tous deux se jettent à l’eau.Guitariste et accordéoniste, Cyril Y. adopte le banjo. Il y greffe des pédales d’effet qui ont tôt fait de le muer en bouzouki malingre, en saz épique, en lyre d’Addis. Cyril B, lui, recompose une batterie de cuisine cannibale, sertissant sa grosse caisse modèle fanfare de grelots maousses et de noix tropicales.Il faut avoir vu ces deux là, un soir de festival populeux, surchauffer un club étriqué en convoquant des négus utopiques. Jouer aux nouveaux berbères, provoquer d’improbables soukous sismiques en une transe qui tient autant du vertige hippie que de Fraggle Rock.Car la musique, pour Cyril Cyril, est un usage du monde. Un décentrement joyeux qui offre de nouvelles prises à l’appréhension du chaos. Le propos ici, n’a rien d’une partie de campagne mondialisée, d’un exotisme gluten-free. Sous la plage, les pavés. Le politique affleure toujours à la surface de ces chants grisants, de ces grooves osseux.Quand il ne remonte pas la filière familiale d’un dialecte libanais adopté sur le tard, Cyril Yeterian scande en français des rhapsodies dont le vocable impérieux dit tout des insurrections qui viennent.Ainsi de “La ville”, harangue doorsienne où la verve épique d’un Prix Goncourt (Texaco de Patrick Chamoiseau) rencontre les prophéties poétiques du Comité Invisible. Ainsi d’”Ultra moderne solitude 2”, plus Alain Péters que Souchon, où l’on s’interroge: “Où sont donc parties les âmes / avec qui prendre les armes”.Rien pourtant de nature à transformer Certaine Ruines en un pamphlet bavard de mauvais plaisants, de rabat-joies néo-post-tout. Parce que, reconnaissons-le, “c’est intimidant le léviathan” (“Sous la mer c’est calme), Cyril Cyril sait les pouvoirs supérieurs de la suggestion, de la retenue, de la sobriété heureuse.Un mot, un cri en dit bien d’autres, pour peu qu’il soit habité. Un son de duo, réduit à sa plus simple expression - rythme-riff-voix - peut porter en lui, double hélice d’ADN, un organisme musical d’une luxuriance infinie. 
Cyril Cyril, si riche, si riche.
Classic High Life from Ghana - African Brothers / Afrohili Soundz
Award-winning Iranian percussionist Mohammad Reza Mortazavi describes the rhythm of eternity or ‘Ritme Jaavdanegi’ in eight transfixing ways on his first vinyl album, following 12”s with Padre Himalaya and Burnt Friedman’s Nonplace in recent years.A prodigious child student turned absolute master of the tombak - a traditional Iranian drum famed for its wide range of tonalities and striking techniques - Mohammad Reza Mortazavi brings an unparalleled instinct and knowledge to his instrument with each new release, and in recent years has found fine foils in Europe’s experimental garde with collaborators such as Mark Fell, Fis and Burnt Friedman, while also performing at prestigious venues including Berlin Philharmonie and the Sydney Opera House. On this, his 6th solo LP, Latency give Mortazavi room to let his heart run free thru his fingertips. Reflecting on his childhood in Iran - where he first learned the tombak and famously surpassed his teacher’s knowledge by the age of 9 - the artist found an 11/8 time signature in the Farsi phrasing for “Rit - me - Jaav - da - ne - gi”, which gave naturally gave birth to this album.Playing within the tricksy, off-kilter meter, Mortazavi beautifully resolves its lop-sided equation in a fractal not fractious style, with rhythms endlessly rolling from others in a seemingly effortless chain reaction of ballistic physics that barrels straight from his head and heart from fingerskin to drumskin.

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