The Ex
Dignity Of Labour (24-pages booklet + poster)

A Colourful Storm presents Tangerine, a collection of songs by Reiko and Tori Kudo. Recorded at Village Hototoguiss, Japan, in 2011 and 2012 and Cafe Oto, London, in 2009, Tangerine is the result of over thirty years of improvisation and intimacy between Reiko Kudo and Tori Kudo (Maher Shalal Hash Baz, Fushitsusha, Noise, Ché-SHIZU). Their live performances would welcome local musicians, neighbourhood children, friends and passersby on stage while in the studio, they have been joined by Ikuro Takahashi (LSD March) and Takashi Ueno (Tenniscoats), releasing on indie labels such as Geographic and K. A touchstone of contemporary Japanese folk minimalism and significantly the last recorded appearance of the duo. Originally released on CD by Hyotan in 2013 and presented for the first time on vinyl by A Colourful Storm. Full-colour sleeve with insert, postcard and lyrics in Japanese and English.

‘La Ritournelle’ is certainly Sebastien Tellier’s biggest hit. It’s a real love antem which still move thousands of hearts and lovers worldwide.

The group was formed by four German musicians living in northern Italy, near Varese (three of them had grown up there, Thurn-Mithoff arrived in 1968), along with two Italians, keyboardist Nicola Pankoff (originating from Arona) and bassist Mauro Rattaggi. The initial name was The Joice, but it was changed by mistake by their record company to Yoice, and it was with this name that their first single was released by the small Produzioni Ventotto label, distributed by Messaggerie Musicali. In 1972, when Rattaggi quit and rhythm guitarist Schoene switched to bass, the group changed its name to Analogy, and had the chance to play some very important concerts like Caracalla Pop Festival in Rome (first concert with the new name) or the Be-In in Naples, though they remained totally unknown outside Italy, apart from Switzerland. Their only album, very rare and interesting, shows some rock-blues influences, with the nice voice of singer Jutta Nienhaus in strong evidence, and had a distinctive cover with the group members all naked.In 1973 keyboardist Nicola Pankoff left the group, though he kept playing and also dedicating to painting, he was replaced by flutist Rocco Abate. The group split around 1974, after more than 250 concerts in Italy and around 60 in Switzerland. (Source: www.italianprog.com)One of the rarest records from Italy, here in a faithful reproduction of the original LP artwork.

Casse Gueule est constitué de l'excentrique chanteur Jonn Toad, et de Pierre le Dentiste et Mathieu Philippe de L'Isle, manipulateurs de synthétiseurs Moog et Korg. Après L’important c’est d’aimer (2014) et Dictature et mendicité (2016), Mannus est le troisième long format du groupe. Dans ce concept-album d'anticipation, il sera question de téléchômage, du manger fabriqué avec les poubelles et d’autres situations absurdes dignes de l’univers de Pierre La Police, qui signe la pochette de ce stopéra de plusieurs chansons imparables à mi-chemin entre DAF, Queen et Daniel Balavoine.

C’est ainsi que le regretté écrivain musical et critique d’art Greg Tate a commencé ses nouvelles notes pour ce numéro d’Americana. « LE PROJET MUSICAL DE KANE RETOURNE AUX ORIGINES DE LA MUSIQUE NOIRE, PARCE QUE LES EXPLORATIONS ET LES RÉALISATIONS MUSICALES DU GROUPE SONT EXCEPTIONNELLES, BIEN QUE VOUS NE LE SAUREZ PAS D’APRÈS L’ACCUEIL QU’ILS ONT REÇU. »Rudy Tambala et Alex Ayuli, les esprits musicaux derrière A.r. kane sont « deux aristos à peine légaux d’ascendance malawi/britannique et nigériane élevés à cockney-sprechen est de londres », comme l’a fait référence à eux : « deux dope boyz qui s’étaient revendiqués par télépathie comme meilleurs amis vers l’âge de 8 ans et qui, en 1986, ont revendiqué toutes les caractéristiques susmentionnées de l’aliénation noire, de la rage noire, du silence noir, du bruit noir et du ragga noir comme leur propre sonore et lumineux.il n’est pas exagéré de dire qu’A.R. kane était l’un des groupes les plus importants de la fin des années 80 et du début des années 90 : ils ont lancé la tendance shoegaze, ils ont inventé la dreampop…Et pourtant, quand est venu le temps pour les masses de se rallier autour d’eux, les grillons.L’industrie de la musique est dans une ère de redécouverte – nous regardons et écoutons tous, déterrons des chefs-d’œuvre négligés et reconsidérons leur importance maintenant. il est temps pour A.R. d’être reconnu.Les révolutions et les évolutions de Kane, des radicaux libres discordants et dissidents du rythme et du bruit noirs aux romantiques de la danse de chambre, des transformations audacieuses et autodéterminées.

Le musicien et tenancier des groupe et bar fictifs Mild High Club signe un quatrième album en forme de purgatoire pour temps troublés.Quand certains disques, comme les derniers albums en date de Björk, semblent être le produit ou une fraction d’une dimension parallèle vaste comme le monde et totalement inexplorée, d’autres ont l’air, à l’inverse, d’appartenir à un espace-temps plus modeste aux limites connues.C’est le cas de Going Going Gone, nouvel album du génial multi-instrumentiste Alexander Brettin, qui rassemble tout ce qu’on entendrait dans un petit bar de nuit qui porterait le nom de son vrai-faux groupe : le Mild High Club où funk déglinguée, bidouillages électroniques, musique brésilienne et free jazz cohabitent sans heurt.