A.R. Kane
Americana

C’est ainsi que le regretté écrivain musical et critique d’art Greg Tate a commencé ses nouvelles notes pour ce numéro d’Americana. « LE PROJET MUSICAL DE KANE RETOURNE AUX ORIGINES DE LA MUSIQUE NOIRE, PARCE QUE LES EXPLORATIONS ET LES RÉALISATIONS MUSICALES DU GROUPE SONT EXCEPTIONNELLES, BIEN QUE VOUS NE LE SAUREZ PAS D’APRÈS L’ACCUEIL QU’ILS ONT REÇU. »

Rudy Tambala et Alex Ayuli, les esprits musicaux derrière A.r. kane sont « deux aristos à peine légaux d’ascendance malawi/britannique et nigériane élevés à cockney-sprechen est de londres », comme l’a fait référence à eux : « deux dope boyz qui s’étaient revendiqués par télépathie comme meilleurs amis vers l’âge de 8 ans et qui, en 1986, ont revendiqué toutes les caractéristiques susmentionnées de l’aliénation noire, de la rage noire, du silence noir, du bruit noir et du ragga noir comme leur propre sonore et lumineux.

il n’est pas exagéré de dire qu’A.R. kane était l’un des groupes les plus importants de la fin des années 80 et du début des années 90 : ils ont lancé la tendance shoegaze, ils ont inventé la dreampop…Et pourtant, quand est venu le temps pour les masses de se rallier autour d’eux, les grillons.

L’industrie de la musique est dans une ère de redécouverte – nous regardons et écoutons tous, déterrons des chefs-d’œuvre négligés et reconsidérons leur importance maintenant. il est temps pour A.R. d’être reconnu.

Les révolutions et les évolutions de Kane, des radicaux libres discordants et dissidents du rythme et du bruit noirs aux romantiques de la danse de chambre, des transformations audacieuses et autodéterminées.