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McKinley Mitchell
McKinley Mitchell

McKinley Mitchell
McKinley MitchellMcKinley MitchellMcKinley MitchellMcKinley Mitchell

Catno

CH-203 Chimneyville #203

Formats

1x Vinyl LP Album

Country

US

Release date

Jan 1, 1978

Styles

Soul

McKinley Mitchell McKinley Mitchell Chimneyville Records - CH-203

McKinley Mitchell - dispo au Discopathe Montpellier !

Media: VGi
Sleeve: VG

12€*

*Taxes included, shipping price excluded

Please feel free to ask informations about our products and sell conditions. We ship vinyles world wide from our shop based in Montpellier (France). Come to visit us. Le Discopathe propose news and 2nd hands vinyls, collectors, rare and classic records from past 70 years.

A1

Open House At My House

4:12

A2

You're So Fine

2:35

A3

The Town I Live In

3:34

A4

Same Old Dream

4:30

A5

You Know I've Tried

3:18

B1

Run To Love

4:00

B2

Dream Lover

2:49

B3

The End Of The Rainbow

3:33

B4

Mr. Music Man

3:02

B5

Follow The Wind

4:00

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incl TOm Moulton Mix. Killer. More more more ...
The Winston Brothers, formation de funk allemande, sort son tout premier album, Drift, sur Colemine Records. L’album invite les auditeurs dans un voyage instrumental futuriste. Mais ne vous y trompez pas : bien que profondément ancré dans la tradition funk, The Winston Brothers n’est pas un groupe poussiéreux. The Winston Brothers est le projet studio du multi-instrumentiste et producteur hambourgeois Sebastian Nagel (The Mighty Mocambos, Bacao Rhythm & Steel Band) et du batteur / percussionniste Lucas Kochbeck (The KBCS, Bacao Rhythm & Steel Band, Hamburg Spinners). Vétérans de la musique avec un penchant pour la production analogique, les deux hommes combinent un état d’esprit boom bap avec un sens aigu du funk et collaborent fréquemment pour créer des arrangements dynamiques, à la fois clin d’œil au passé du genre et musique contemporaine organique. Avec sa batterie lourde, ses breaks juteux, ses grooves entêtants, ses riffs brûlants et ses instrumentaux mélodiques, Drift puise dans l’énergie brute du funk des années 60 et 70. Les motifs répétitifs et accrocheurs évoluent vers des paysages sonores vibrants, avec une dynamique propre, allant de l’incendiaire au cool, voire à l’onirique. The Winston Brothers sont prêts à illuminer pistes de danse, croisières fluviales et barbecues !
Bacao Rhythm & Steel Band, le mystérieux groupe de steel drum originaire de Hambourg, en Allemagne, s’est fait connaître dans le monde entier. Après deux albums acclamés par la critique, ils ont clairement l’intention de pousser le curseur encore plus loin. De retour avec un troisième album intitulé à juste titre Expansions, Bacao poursuit ses explorations. Reprenant des chansons dans un large spectre musical allant des tubes planétaires aux titres obscures, ils se les approprient avec leur approche unique des percussions steel pan traditionnelles de Trinité-et-Tobago. Une partie de l’attrait d’un nouveau disque de Bacao est de découvrir quelles reprises ils ont choisies. Cependant, les fans purs et durs attendent également d’entendre les nouvelles compositions originales comme le stellaire « Tough Victory » en ouverture du disque. Avec sa section rythmique inébranlable, ses arrangements de cuivres et ses couches de mélodies de pan steel, Bacao ne pourra jamais être défini comme un simple groupe de reprises. Dans les trois morceaux suivants, ils vont du jazz (Galt MacDermot) au hip-hop (Slum Village / J Dilla), en passant par un classique du dancefloor (Grace Jones). Leur reprise du tube de Jay-Z produit par Timbaland, « Dirt Off Your Shoulder », est tout simplement à tomber. Leur version du « I Need Somebody To Love Tonight » de Sylvester avec sa rythmique four-on-the-floor propre au disco n’aidera pas à se relever. Ils s’aventurent également dans le funk avec le « Getting Nasty » d’Ike Turner avant de s’attaquer au classique jazz « Les Fleurs » de Minnie Riperton. Ils rendent hommage à Erykah Badu qui rend elle-même hommage à J Dilla avec « The Healer ». À la seconde où le rythme tombe, la production originale de Madlib en a pour son argent, secouant les subwoofers avec un trémolo de basse surnaturel pendant que les steel pan jouent les mélodies vocales de Badu. Avec son nouvel album, Bacao emmène l’auditeur dans un voyage qui couvre une myriade d’énergies, de tempos et d’ambiances tout en réussissant à conserver une unité. Bacao Rhythm & Steel Band insuffle une nouvelle vie aux originaux et continue de repousser les limites de la musique steel pan, ou plutôt, comme le titre l’indique, de l’élargir.The latest must-cop record from the good people at Big Crown is a real summer special. Bacao Rhythm & Steel Band serve up some seriously soul-enriching grooves, with the impossibly warm and good time vibes that come from steel drums on each and every one. The beats are rooted in funk, with fat bass and expressive horn work bring each one to life. There are sojourns into dub, disco and jazz, and the whole thing bris with so much character and personality that it cannot but put a smile on your face.
Ernesto Djedje is rightly known as the king of Ziglibithy and has been since not long after he first made his mark back in the 60s. He started out as a guitar player and leader of Ivoiro Star, before eventually going it alone and moving to Paris. He later returned to his native Cote d'Ivoire in 1974 and created his own musical mix of funk, soul, Makossa and disco before dying in odd circumstances in 1983. This Roi Du Ziglibithy, LP was first released in 1997 and now gets reissued on Analog Africa. One of his best-known works, it's a perfect example of his unique fusion sound.La notoriété d’Ernesto Djédjé commence à croître à la fin des années 60, lorsqu’il devient le guitariste et le leader du groupe Ivoiro Star, fondé par Amédée Pierre, star du dopé, le style musical phare de l’époque. Agacé par la « congolisation » de la musique ivoirienne qui s’opère au sein du groupe, Ernesto quitte le groupe et émigre à Paris en 1968 pour enregistrer ses premiers 45 tours arrangés par Manu Dibango. Ces enregistrements reflètent l’ambiance musicale de l’époque, dictée par deux courants musicaux de la scène ivoirienne : la musique traditionnelle, incarnée entre autres par Amédée Pierre d’une part et la musique importée des États-Unis, du Cameroun et du Zaïre d’autre part. Et si la première tendance est généralement négligée, la jeunesse s’approprie la seconde. C’est dans ce contexte qu’Ernesto va puiser l’inspiration pour une nouvelle formule. De retour en Côte d’Ivoire en 1974, Ernesto forme l’orchestre des puissants Ziglibithiens. Diabo Steck (batterie), Bamba Yang (claviers et guitare), Léon Sina (guitare) et Assalé Best (chef d’orchestre et saxophone) deviennent le noyau dur du groupe et commencent à combiner les rythmes et les chants du peuple Bété avec le makossa, le funk et le disco pour créer un style musical à la fois ivoirien et international. Il a appelé son expérience “ziglibithy” et ses deux premiers albums, immortalisés en 1977 à Lagos et publiés sur le label Badmos, ont pris l’Afrique de l’Ouest d’assaut, faisant d’Ernesto Djédjé une icône du jour au lendemain et l’une des légendes de la musique africaine. Ernesto Djédjé meurt dans des circonstances mystérieuses en 1983, à l’âge de 35 ans, choquant toute la nation ivoirienne. Bien que la fin soit survenue brusquement, Ernesto a eu le temps en 5 albums de cimenter son héritage comme l’un des artistes les plus novateurs que la Côte d’Ivoire ait jamais produit. La chanson « Zighlibitiens », apportée en Colombie par un mécanicien aéronautique au début des années 1980, rencontrera un énorme succès sur la côte caraïbe. Enflammant les fêtes locales les plus insolites, le disque est devenu l’un des plus recherchés dans cette région du monde. Ainsi, alors que le ziglibithy a pratiquement disparu des ondes de son pays natal, de l’autre côté de l’Atlantique, son feu continue de brûler. Pressage en édition limitée sur vinyle gatefold 180g.NiniZiglibithiensBliwana Golozo
Featuring Joey Qionones’s debut Colemine single ‘Love Me Like You Used To,’ this 45 epitomizes the artist. Drowning in lush and soulful tracks, both ‘There Must Be Something’ and ‘Love Me Like You Used To’ bring you into Joey’s world, where he embodies the East LA sweet soul scene. This is Joey’s second 45 in collaboration with Colemine Records, but expect a dynamic, rich, and stacked debut LP from him later this year.