Pawel's Bar
Pawel’s Desert Trip

Repress !

NOOD5 features contributions from six friends of the Noods family, consisting of Berlin based techno iconoclast Ossia, shadowy Bristol producer fresh from a highly acclaimed EP on Berceuse Heroique, Pessimist, Timedance affiliate Cleyra, Milanese sound experimentalist Katatonic Silentio, Rio underground lynchpin and RBMA graduate Valesuchi and a collaboration from Dekmantel’s Epsilove and the elusive Ployer Fower.The record is a confident assertion of the station’s sonic ethos; filled with tense, dread-laden soundscapes that foreground the percussion and sub bass. Reverbs and delays are utilised in the true dub tradition, wringing out unconventional grooves from the negative space between the drums: it’s music for the head and the body.Originally intended to be released on our fifth birthday hence the name, fuck it — the pandemic slowed much down so have it on our sixth birthday instead.

Hailing out of Montreal, 00:AM follow up their killer first release with a four track VA e.p. setting their stall out as a label to watch in 2018. The Hutchin Crew open up proceedings with an ethereal and hypnotic cut, coupling sweeping pads with dreamy keys. Next up, DJ OK takes things darker layering thudding toms and atmospheric strings with a sci-fi sampled spoken word.On the B side, Cromie & Iron Curtis let the pounding bass sit centre stage interspersed with otherwordly synthwork and that high hat fizz. Finally, Science Fiction steers things on a new wave tip offering up a down-tempo french vocal tinged closer to round off this stellar e.p..

I feel it starts again,Why does it go on?Aujourd’hui les choses se sont accélérées, et, parodie de la vitesse, il se mit à pleuvoir.Par-là la perte d'un peu de soi, c'est la dérive progressive vers d'autres rivages.Mais le temps manque à celle dont la course, commencée il y a bien longtemps, ne sait plus comment s’arrêter.Déconstruis !C’est ce que la morale lui criait fût un temps, c’est ce que les principes bien ancrés ont connus dans l’esprit des indolents.Une fois les miettes éparpillées au sol et les habits maculés d’histoires, les folies sèchent et collent à la peau, puis font scintiller -sable sous le soleil d’été- de nouveaux fondements à la droite du cœur.Car contradictoire, la morale d’hier ne trouve plus sa place 𝘩𝘪𝘤 𝘦𝘵 𝘯𝘶𝘯𝘤 dans l’esprit des protagonistes,les promenades ont épuisé le vieux gardien du principe et de l’éthique : alité la journée, la nuit il fuit les regards de ceux qui penchent la tête par sa fenêtre pour le solliciter.« 𝘋𝘰 𝘺𝘰𝘶 𝘸𝘢𝘯𝘵 𝘵𝘰 𝘩𝘢𝘷𝘦 𝘢 𝘱𝘪𝘤𝘬 ? » propose un vendeur de souvenir à sa porte en présentant un panneau avec différentes offres.C’est ainsi que se trafique l’image et l’espoir, que se justifie le gagne-pain de celui que certains nomment « vendu ».Mais,celui qui le nomme ainsi,Peut-il vraiment dire « j’ai les yeux ouverts » ?Rêve-t-il même ou n’a-t-il pas au moins peur de ce que ce « vendu » lui fît, ne lui fît pas, en ou en deçà de ce qu’il estime être « la valeur des choses » ?De mauvaise foi en mauvaise foi, -nonchalance ? -déni ? et du haut de sa tour, il observe. Il prend sa lunette pour mieux juger mais tarde à comprendre… son point de vue est altéré et lui donne à voir un drôle de paradigme : miroir de sa considération, il se voit minuscule et la tête en bas. Il sursaute :- Ce n’est que moi. Je m’effraie dans ma condescendance, la jumelle à l’enversme rend rabougri : si près pourtant je semble si loin et colérique.Il n’est pas rare pour lui de se retrouver dans ce qu’il condamne.Mais voilà, muable, il accepte la condition du temps, et, tentant de comprendre l’éventualité d’un fait présent, englobant ici et là, impalpable imperceptible, affirme :- Rien ne sert de précipiter ce qui sera ou de ranimer ce qui était, il importe decomprendre son époque.𝘈𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘳𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘢𝘮𝘦, 𝘧𝘢𝘳𝘥𝘦𝘢𝘶 𝘴𝘢𝘶𝘷𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘶 𝘴𝘰𝘪, 𝘭𝘶𝘪 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘪𝘵𝘳𝘰𝘯𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘪𝘮𝘱𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘧𝘧𝘦𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘵𝘺𝘭𝘦, 𝘮𝘢𝘯𝘪𝘱𝘶𝘭𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘴𝘦𝘭𝘰𝘯 𝘴𝘦𝘴 𝘥𝘦𝘴𝘪𝘳𝘴 𝘰𝘶 𝘴𝘰𝘯 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘪𝘯𝘤𝘵.