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Stand High Patrol
Midnight Walkers

Midnight Walkers
Midnight WalkersMidnight WalkersMidnight WalkersMidnight Walkers

Catno

SHLP001

Formats

1x Vinyl LP Reissue

Country

France

Release date

Jan 1, 2020

3 eme réédition pour Midnight Walkers le premier album du collectif français Stand High Patrol, projet Roots, Reggae, Uk Dub et Dontempo disponible Montpellier

3 eme réédition pour Midnight Walkers le premier album du collectif français Stand High Patrol. Un album marquant du Reggae Dub français des années 2010's qui a su se faire une place parmi les plus grands du genre. Désormais incontournable Pupa Jim et sa clique développe en 9 tracks un projet qui évolue entre influences Digital Jamaicaines et Uk Dub, que l'on est bien content de pouvoir vous présenter à nouveau !

Media: Mi
Sleeve: M

22.9€*

*Taxes included, shipping price excluded

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A1

Commando

A2

Brest Bay

A3

Boat People

A4

Home Made

A5

Entertainer

B1

The Big Tree

B2

Dub It

B3

Holiday Today

B4

Automatic Attack

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Oeuvre instrumentale fascinante mêlant electronica, ambient et synth pop, Esperanto, sorti en 1985, est le sixième album solo de Ryuichi Sakamoto. Après son passage au sein du légendaire Yellow Magic Orchestra, et le succès mondial de la bande originale du film Furyo en 1983 dans lequel il joue aux côtés de David Bowie, Esperanto est un retour aux racines leftfield. Composé pour être la bande son d’une performance de la chorégraphe new-yorkaise Molissa Fenley commandée par le producteur japonais Shozo Tsurumoto, l’album a été conçu par Sakamoto seul avec l’aide de la technologie de pointe de l’époque. Les seules contributions externes sont celles d’Arto Lindsay à la guitare et du compositeur japonais Yas-Kaz aux percussions. L’album est un voyage sonore fascinant expérimentant principalement avec la technologie de l’échantillonneur – toute nouvelle à l’époque et qui nécessitait un ordinateur de taille énorme. Esperanto est composé de huit titres affichant un mix varié d’influences. « A Wongga Dance Song » vibre de rythmes tandis que « A Rain Song » adopte un mode minimaliste avec son motif répétitif. « Dolphins » et « A Carved Stone » sont des titres ambient captivants qui mettent en valeur le talent de Sakamoto pour créer des atmosphères envoûtantes ornées de mélodies abstraites. L’un des temps forts de l’album est « Adelic Penguins », un titre proto techno fascinant avec une touche funky se déroulant sur six minutes et qui n’est pas sans rappeler l’électro-funk de l’album Hidari Ude No Yume de 1981. « Ulu Watu », une pièce aux allures de collage avec des motifs d’oiseaux et un paysage sonore tropical, clôt l’album sur une note expérimentale. Il est intéressant de noter qu’un an plus tard, ces titres ont fait l’objet d’un projet vidéo expérimental mené par les artistes video new-yorkais Kit Fitzgerald et Paul Garrin, le collaborateur de Nam June Paik. Album unique dans la riche discographie de Ryuichi Sakamoto, Esperanto est une œuvre maîtresse des années 80 dans la discographie du musicien à redécouvrir. Sorti sur le label School de Midi Inc., l’album est disponible pour la première fois hors du Japon. Cette réédition du label Wewantsounds comprend la pochette originale, un insert 2 pages avec une nouvelle introduction par le journaliste Andy Beta et l’audio remasterisé à Tokyo par Seigen Ono.
New dialogues between drum & bass artists both old and young continue to be sparked up, thanks to no end of new institutions opening in the UK celebrating the genre's cultural impact. Tim Reaper is probably the most popular fresh-faced jungle artist out there at the moment, but his sound is emblematic of this intergenerational interplay, owing a lot to its forebears. 'The Cosmik Connection Vol. 3' blends icy rave tropes, cute dolphin synths, and lo-fi breaks into its dreamy, airy stew.TIM REAPERCosmik Connection Vol 3Unknown To The Unknown
Gayance joins forces with Rhythm Section International for her debut album Mascarade. A swaying dance that moves between poetic, soulful odes to the past, accounts of the Afro-diasporic feminine experience and playfully energetic dancefloor grooves. Mascarade is a collection of dancey, broken rhythms, interwoven with heartfelt stories and bright, unapologetic outpours of joy. In her own words, "It's the story of my 20s. I wanted to pay homage to this kid everybody knew, but not deeply. It's about taking back a power that is mine and was always in my hands -- It's about making peace with the past and moving forward." Gayance (real name Aïsha Vertus) takes her alias from the Haitian creole word for joyfulness. Based in Amsterdam, born and raised in Montreal-Nord, she started as a DJ in 2013, and has toured the world with shows in Paris, Brooklyn, Marrakech, Berlin, Sao Paulo, and more, bringing electrifying and contagious energy wherever she goes. Her own production is influenced by underground UKG and the respective house scenes of Detroit and New York, with nods to the vivid, sun-soaked colors of Latin America. Shades of blues, jazz, and gospel can also be heard in her newest project, pulling together styles from each corner of the world. Following her catalog of entirely self-released projects, Gayance announces her full-length debut album on Rhythm Section, bringing some fellow Montrealers along for the ride. Features Janet King, Hua Li, Sarah MK, Judith Little D, and Raveen. For fans of: Laroi, Pierre Kwenders, Hua Li, Dego, Jitwam, Neue Grafik, Tenderlonious, Steve Spacek, Kaidi Tatham, Andrew Ashong.
Limited edition vinyl press of Social Justice Social Justicepar Jah Warrior meets Diggory Kenrick
Wewantsounds est heureux d’annoncer la réédition du premier album solo de Ryuichi Sakamoto, sorti en 1978 sur le label culte Better Days. Le musicien joue sur une demi douzaine de synthétiseurs et de claviers programmés par Hideki Matsutake et – accompagné par quelque-uns des meilleurs musiciens japonais dont Haruomi Hosono et Pecker – il annonce le son electro du Yellow Magic Orchestra avec cet album. C’est la première fois que Thousand Knives sort sur vinyle hors du Japon, en dehors d‘une sortie confidentielle en 1982. L’année 1978 est une année clé pour la scène japonaise. Haruomi Hosono, l’un des musiciens les plus novateurs du pays, vient de fonder le Yellow Magic Orchestra afin de poursuivre les expérimentations sonores commencées sur son album Paraiso. L’album, crédité à Harry Hosono & The Yellow Magic Band, enregistré fin 77 et début 78 comprenait déjà Ryuichi Sakamoto et Yukihiro Takahashi. Hosono les invite à rejoindre YMO dans la foulée, mais avant que le groupe ne sorte son premier album, Sakamoto entre dans les studios de Nippon Columbia en avril 1978 pour enregistrer Thousand Knives. Sakamoto est à l’époque un jeune musicien de studio très recherché. Après avoir étudié la composition à la Tokyo University of Art, il joue sur de nombreux albums clés de l’époque: Sunshower de Taeko Ohnuki et Spacy de Tatsuro Yamashita pour n’en citer que deux et Hosono l’invite donc naturellement sur Paraiso. Avec un goût pour l’avant-garde et l’improvisation, Sakamoto s’intéresse très tôt à la musique électronique et, avec Thousand Knives, il décide de faire appel à Hideki Matsutake qui maîtrise l’art de la programmation de synthé après un passage chez le pionnier de la musique électronique, Isao Tomita. Sakamoto met plusieurs mois à enregistrer Thousand Knives ; étant pris la journée par ses sessions studio pour d’autres, il enregistre la nuit. Le titre de l’album, inspiré d’un poème d’Henri Michaux relatant son expérience de prise de mescaline, est une réflexion sur l’avènement de la technologie et des synthétiseurs dans le champ musical de cette époque. La première face conçue comme un tout s’ouvre sur « Thousand Knives » et un poème de Mao Tsé-Toung lu par Sakamoto et filtré par un vocoder, avant de se transformer en un instrumental de pop synthétique. Il est suivi par « Island Of Woods », un titre de dix minutes bourdonnant de synthés et rappelant l’exotica tropical du titre « Femme Fatale » dans l’album « Paraiso » (sur lequel Sakamoto tient les claviers). La première face se termine par « Grasshoppers », une très belle mélodie jouée au piano acoustique et soulignée d’un subtil accompagnement de synthétiseur. La deuxième face s’ouvre avec « Das Neue Japanische Elektronische Volkslied », hommage à l’influence de la nouvelle scène allemande emmené par Kraftwerk. Sakamoto part d’un rythme métronomique mi-tempo qu’il mêle habilement à une mélodie plus traditionnellement japonaise. L’album enchaîne et se termine par deux titres de synth pop plus rapide, « Plastic Bamboo » et « The End of Asia », qui vont rapidement devenir des classiques live de YMO ainsi que de Sakamoto. Bien que Thousand Knives se soit vendu modérément à sa sortie, il a exercé une grande influence sur ce qui allait suivre avec YMO, dont le son reste indéniablement influencé par Thousand Knives et sa ‘Computer Music’, même s’il inclut des influences des trois membres Thousand Knives reste un aperçu fascinant sur les prémices d’une révolution musicale. Remasterisée à partir des bandes originales par l’ingénieur du son Seigen Ono.
Classic...